Eugène Diomi Ndongala Nzomambu. (Archives)
Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie chrétienne n’a pas été libéré mais plutôt « relaxé » samedi 17 juillet 2021 soir, selon les termes du procureur près le tribunal de Grande instance de Kinshasa-Gombe. Après confrontation et vérification des faits au parquet, a-t-il précisé, il ne s’agit pas de viol mais plutôt de « tentative de harcèlement présumé sur une mineure ». C’est le fait infractionnel retenu à sa charge dont le Parquet va poursuivre l’instruction le lundi 19 juillet 2021.
Selon toujours le parquet, on ne peut pas poursuivre Diomi sur base de son passé. « Nous le poursuivons sur base du présent. Et, au vu des faits vérifiés, il n’a pas été nécessaire de le détenir que de le relaxer », indique la même source.
Avec RO