Constant Mutamba Tungunga, président national des regroupements politique NOGEC et Alliés à Kinshasa, le 09/07/2018 devant la rédaction de Radio Okapi.
Le regroupement politique NOGEC (Nouvelle génération pour l’émergence du Congo) exige la libération immédiate et inconditionnelle de tous ses militants arrêtés mercredi 15 septembre 2021 matin lors de la répression, dans la partie Est de la ville de Kinshasa, de la marche initiée par Lamuka et la NOGEC.
Le coordonnateur de la NOGEC, Constant Mutamba qui le dénonce, ajoute qu’il a lui-même échappé à une arrestation en escaladant un mur.
Toujours selon Constant Mutamba, la répression était forte pour une marche qui se voulait pacifique. La police, poursuit-il, a fait usage d’eau chaude ainsi que des gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants.
DES ARRESTATIONS
La ville de Kinshasa est en ébullition dépuis la matinée de ce mercredi 15 septembre 2021. Ce, après l’appel des plates formes politiques et des mouvements citoyens à une marche visant à pousser les décideurs à depolitiser la commission électorale nationale indépendante (CENI).
À quelques heures seulement après le début des manifestations, on signale quelques arrestations. C’est ce que rapporte Constant Mutamba, président de la nouvelle génération pour l’émergence du Congo (NOGEC).
« Les militants de NOGEC en pleine marche à Tshangu. La police vient d’arrêter certains »,a-t-il succinctement écrit sur son compte Twitter.
Avec RO/Dieubon Mughenze