De Congounis.info
En lisant un article publié dans le site alternance.cd et dont le titre est «le sale coup raté de Bahati contre Kamerhe», on comprend que certaines personnes tentent de semer un trouble entre deux frères ignorant l’histoire.
D’ailleurs, il convient de rappeler que le Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo a été le tout premier fils du Sud-kivu qui a apporté son soutien à Vital Kamerhe dès le début de l’instruction de son dossier dans l’affaire de 100 jours du Chef de l’Etat. Bahati Lukwebo qui a toujours agi en homme d’Etat, étant lui-même victime de plusieurs injustices, a compris en premier le mal que son frère Vital Kamerhe pouvait ressentir.
En suite, il faut se rappeler de la marche à laquelle le Sénateur Professeur Modeste Bahati a appelé tous les militants de l’AFDC-A à participer vivement en guise d’accompagner l’UNC dans sa réclamation de la mise en liberté de l’Honorable Vital Kamerhe.
Par là, il faut comprendre tout simplement que ceux qui ont fait écrire à nos confrères de alternance.cd cet article, ignorent complètement le soutien moral que Bahati Lukwebo apporte à son frère Vital Kamerhe, lui qui jusqu’aujourd’hui se bat également pour faire sortir son regroupement politique de l’injustice dont il est victime.
En ce moment où certains s’imaginent un quelconque remaniement du gouvernement, il est possible qu’ils puissent se mettre dans une fausse plume pour salir les grandes images du Sud-kivu comme celle du Sénateur Professeur Modeste Bahati Lukwebo.
D’aucun n’ignore également que l’artiste musicien Werrason est membre de l’AFDC-A avec sa plateforme «A nous le Congo».
C’est seulement dans ce cadre que Werrason a participé à la matinée politique qu’a organisé l’AFDC-A à l’esplanade de la FIKIN le 26 septembre 2020 et qui ne visait que le rayonnement normal de l’AFDC-A.
Il est tout à fait normal qu’après près de 5 mois de confinement en Europe suite à la pandémie de Coronavirus, le Professeur Modeste Bahati Lukwebo, un fils du Sud-kivu et pas le moindre, puisse se déplacer à l’Est du pays où il doit compatir avec ses compatriotes qui subissent le coup dur que cause l’insécurité, faisant perdre des vies.
Le patron de la deuxième force politique du pays ne cesse également de militer pour faire remettre son regroupement AFDC-A dans ses droits politiques auprès de la justice, cela depuis avant le procès dit de 100 jours.
Nul ne peut donc dire que c’est aujourd’hui que ce combat a commencé.
L’opinion doit tout simplement retenir que celui qui a fait publié cet article n’a pas une autre mission que de nuire et de détourner attention des milliers de militants de l’UNC qui en ce moment combattent pour la liberté de leur président national Vital Kamerhe.